Le film cinéma qui ne fut jamais… Babylon 5 – The Memory of Shadows

Trop tôt? trop tard? Plus assez d’acteurs en vie? Pas assez de moyen? Pas de volonté de la warner? Trop de Star Wars?

Vers 2004 une info fulgurante a laissé tous les « Babylonniens » dans mon genre sur le derrière… JMS était dans des négociations préparatoires pour donner une suite, une suit, pas un remake ou un reboot, à Babylon 5… L’idée étant de finalement donner une suite indirecte à la partie Crusade de notre saga favorite…

The Memory of Shadows aurait dû être le tout premier film cinéma de notre saga… mais le 25 février 2005 JMS fit l’annonce cruelle que le projet était mort et enterré!

JMS avait promis une surprise niveau cinéma depuis bientôt 2003 tout en restant très flou (le mec a tout de même inventé les vorlons…). Stracyzynski commença à laisser transparaître des infos plus précises vers 2004 (comme le possible acronyme du titre en janvier – MOS – de cette année et le format cinéma en avril). En juin, il confirma le titre en « The Memory of Shadows, » (que beaucoup avaient déjà pigé avec l’acronyme) et qui voulait en gros dire “La Mémoire des Ombres”… Production Weekly annonça en décembre 2004, qu’un certain Steven Beck serait à la réalisation avec une date possible de sortie en 2005. Très concret tout ça… Oui mais dans la pratique, avec qui et quelle histoire?

Le film aurait vu la technologie des Ombres être distribuée à travers la galaxie par une force inconnue (un peu comme la Main dans Legend of the rangers), et une femme officier de la force terrestre, Diane Baker (dont le frère venait d’être tué par une explosion mystérieuse) se mettait en tête de déjouer cette conspiration de niveau galactique… avec l’aide d’un mystérieux technomage, nul autre que Galen, bien décidé lui à retirer de l’échiquer galactique ces armes terribles.

Le script du film était totalement fini, juste réécrit suite à la mort de  Richard Biggs, qui jouait Stephen Franklin dans  « Babylon 5 » et que J. Michael Straczynski refuseait de recaster par un autre acteur.

Selon des indices donnés par Straczynski lors d’une convention dans le New Jersey, et certains propos sur des groupes USENET (son habitude), il était quasi certain que le récit devait sonner une conclusion à la défunbte série Crusade et ouvrir d’autres pistes.

Peu d’acteurs de la série originale n’étaient prévus (le tout se passant donc bien après la série) et mis à par des caméos (et au départ une intervention de notre bon docteur), il restait des possibilités de croiser Lochley (peu de chance de voir Ivanova) ou même Ta’lon (mon pote perso Marshall Teague… mais mis à part des évocations de Sheridan ou de Delenn, ils n’étaient pas prévus…

Acteur reconnu il restait à. Espérer que Galen aurait été joué par le même très bon Peter woodward.

Le projet est mort de sa belle mort surtout par désintérêt des producteurs… reste les « Lost tales » qui on permis de revoir brièvement nos personnages favoris…

La perte de Jerry Doyle, de Richard Biggs, Andreas katsulas, Jeff Conaway (Zack), Michael O’Hare (improbable de le revoir de toute façon mais je tenais à parler de lui), Tim Choate (Zathras… pauvre, pauvre zathras) rendant quasi impossible le retour de ces personnages, un peu comme quand Paramount fit des films avec les kirk et spock vieux dans les années 80 et 90, il reste à espérer que si un film voit le jour il sera à la hauteur de notre dévotion à la série et de la grandeur de l’histoire… et PLEASSSSSE pas de remake avec Mark Walberg ou Vin Diesel en garibaldi…

 

Star Wars Episode VIII : Les derniers Jedis – La critique de ranger2261

Avec la sortie du nouvel opus de la saga Star Wars, je me devais de donner mon avis sur le film, la saga ayant eu une importance toute particulière dans ma vie et ayant marqué mon enfance. C’est aussi le premier Star Wars que j’ai vu seul, donnant un côté encore un peu plus particulier à cet épisode. Le niveau quasi biblique de cette épopée pour bon nombre de fans peut mener à diverses lectures de ce nouveau chapitre ! Je vais tenter de spoiler le moins possible !

 

Le reproche principal qui avait été fait à l’Episode VII, « Le Réveil de la Force », d’avoir un scénario bien trop calqué sur le tout premier Star Wars ne peut se justifier cette fois tant « Les Derniers Jedis » se permet un vrai voyage hors des sentiers battus par les autres opus. Et c’est bien ce que bon nombre de fans lui reprochent… A un moment du film Luke Skywalker dit à Rey que « ça ne fonctionne pas comme tu le crois »… c’est un avertissement qui n’est pas juste destiné à la jeune jedi en devenir mais aussi au spectateur que veut faire passer le réalisateur Rian Johnson (il faut voir absolument son « Looper ») et qui sous-entend clairement que les choses peuvent se passer bien différement cette fois-ci. Pour une fois une suite de la saga débute immédiatement après son prédécesseur. La résistance qui a déjà subi de lourdes pertes face au Premier Ordre mais a réussi à détruire (encore…) la super arme des méchants, se retrouve en fâcheuse posture lorsque les vaisseaux du général Hux (joué un tantinet hystérique par Domnhall Gleeson) arrivent à leurs portes pour prendre leur revanche et écraser pour de bon la rebellion. Sous le commandement de la générale Leia Organa (dernier rôle de Carrie Fisher qu’on sent affaiblie), la résistance est désormais à peine composée de quelques vaisseaux et d’une centaine de pilotes dévoués mais au bord du désespoir. Au sein des derniers dirigeants de ces valeureux rebelles, on rencontre un nouveau visage, l’Amiral Holdo (jouée par l’inattendue Laura Dern), personnage ambigu et autoritaire. Une évasion doit être tentée car l’ennemi est partout autour…

Face à eux, outre Hux, on retrouve le descendant d’Anakin Skywalker, fils de Leia et Han Solo, Ben, devenu Kylo Ren de par sa quasi obsession liée à Dark Vador et l’attrait du côté obscur (un Adam Driver bien meilleur dans son jeu d’acteur ce coup-ci).

De leur côté Finn (John Boyega) et Poe Dameron (Oscar Isaac) tentent le tout pour le tout pour tenter de sauver ce qui reste de la résistance.

Quasi au même moment, Rey (Daisy Ridley) a enfin réussi à retrouver le dernier maître jedi, Luke Skywalker afin de lui demander de sortir de l’exil qu’il s’est imposé et la guider dans les chemins de la Force. Luke n’est plus que l’ombre de l’homme qu’il était jadis et n’est surtout plus qu’une sorte d’ermite brisé par le regret d’actes qu’il a posé dans le passé (que je ne spoilerai pas ici) et de son échec avec Kylo Ren, son neveu. D’entrée de jeu il la rejette et elle passe tout de même une grande partie du film à le supplier ! On est loin du mythe fondateur du héros et de sa quête initiatique des origines de la saga car cette stucture est déconstruite vu que le héros a payé pour savoir que les happy ends ne durent pas et que devenir une légende a un prix. Dans cette optique de dureté et de pessimisme, on peut admettre que cet opus est « L’Empire contre-attaque » de cette trilogie mais peut-être bien le film le plus sombre de toute la franchise. Et voir «mon » Luke Skywalker subir ce traitement est je l’avoue une peu difficile à digérer. Il semblerait que Mark Hamill lui-même aurait exprimé des regrets sur le traitement donné à son personnage, ce qui doit avoir bien énervé Disney à mon avis.

 

La connexion de Rey avec la Force est de plus en plus intense mais son lien avec Kylo Ren aussi, amenant les plus folles spéculations sur ce qui peut suivre. Finn de son côté passe de statut de soldat fuyant le combat à héros qui s’y jette avec tout son courage et l’introduction du personnage de Rose (jouée par Kelly Marie Tran) n’est pas étrangère à ce revirement.

Dameron de son côté est de plus en plus LE Han Solo de ces nouveaux films tant son courage et sa décontraction rendent le personnage sympatique et attachant. En gros, la série ose faire un pas de géant vers l’avenir et il est logique que Disney pense au réalisateur pour une trilogie suivante !

Les plus grands emprunts à « Empire » sont ceux où Luke apprend les voies de la Force et les arts Jedi avec Yoda. En effet, les scènes entre Luke et Rey en sont un quasi copié-collé.  En fait pas mal de scènes dans le film semblent sortir tout droit de la saga originale.  La scène où Rey et Kylo Renn sont dans l’ascenceur fait écho à l’échange entre Luke et Vador dans « Le Retour du Jedi » lorsque le fils dit au père qu’il sent qu’il reste encore du bon en lui alors que ce dernier l’amène au leader du Côté Obscur… en soi ça m’a tout de même un peu agacé je l’avoue aussi… Et puis il y a la parenté de Rey, évoquée de façon surprenante, mais tout ce qui est dit est-il vrai???

Pour ce qui est des effets spéciaux, on est proche de la qualité parfaite et les batailles dans l’espace vont bien au-delà de ce qui a été fait auparavant ! Et le plaisir de revoir les anciens personnages interagir avec la nouvelle génération est encore plus accentué par le retour inattendu du Yoda des origines, à savoir une marionette et pas le personnage en images de synthèse de la préquelle qui faisait en fait bien plus bidon ! Et pour les fans de VO, c’est le grand Frank Oz, voix originale et marionettiste du Yoda de 1980 qui rempile.

Reste deux ou trois déceptions telles que cette visite sur la planète casino, très malvenues de mon point de vue et limite ridicules, la quasi inutilité du personnage de Snoke (ma plus grande frustration en fait), le rôle encore tout riquiqui du Capitaine Phasma (jouée par la très bonne Gwendolyne Christie de Games of Throne) et le sous-emploi évident de R2D2 et C3PO qui sont relégués quasi à des apparitions problablement pour permettre au sympathique petit BB8 de faire encore une fois de plus ses preuves !

Alors oui il y a Benicio Del Toro qui cabotine, oui il y a une scène impliquant pour la première fois Leia utilisant la Force qui est franchement digne d’une suite de Mary Poppins, oui il y a les Porgs (très mignons mais inutiles) qui font office de Ewoks du film (sous-entendu faire vendre des peluches) et un Chewbacca qui semble comme amputé vu l’absence de Han Solo mais c’est tout de même un fichu bon film qui sert de charnière à cette trilogie ! Le mystère est entier quant à la suite et surtout quant à la façon dont le réalisateur suivant va gérer le décès de Carrie Fisher et l’intégrer dans l’épisode suivant qui devrait définitivement cloturer la saga de la famille Skywalker.

Une remarque qui m’est passée par la tête est aussi que le film est de mon point de vue le plus féministe de la saga tant tous les personnages féminins sont braves, avec un caractère fort et de la maîtrise alors que les mecs sont impulsifs, et pas forcément futés ! Un angle qui m’a en fait assez plu !

Et puis il y a bien entendu la musique qui est partie intégrante de l’histoire et des émotions ressenties ici, John Williams est à son apogée. Les frissons le long de ma nuque en étaient la preuve !

Review et critique du film Guardians of the Galaxy – Les Gardiens de la Galaxie

Comme il faut battre le fer tant qu’il est chaud, que je l’ai vu hier soir et que le temps est pourri ici au royaume de Belgique (ça le fait « le royaume de Belgique »), je vous livre ma « review » perso du film Marvel « Les Gardiens de la Galaxie ».

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Rappelons que ce film prend place dans m’univers cinématographie des films Marvel tels que Thor (et sa suite), Captain America (idem), tous les Iron Man et le superbe « The Avengers » (de plus Stan Lee, le créateur de ces comics, a encore son caméo dans le film). Donc tous les persos coexistent dans le même univers, et sont susceptibles de se croiser ou d’interagir. Bon si c’est clair pour vous, je commence !

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Le film débute sur le jeune Peter Quill dont la mère est en train de mourir à l’hôpital (un cancer plus que probablement). Nous sommes dans les années 80. Juste avant de rendre son dernier souffle, elle lui remet un présent (qu’il n’ouvrira qu’à la fin du film) et lui dit que son père qu’il n’a pas connu était un « ange »… Il se précipite au dehors en pleurant et soudain, un vaisseau extra-terreste l’enlève… Puis le film saute vingt ans en avant et nous retrouvons (sans la moindre explication) un Peter adulte, seul sur une planète déserte où il récupère au milieu d’un temple abandonné une sorte de sphère en argent. Soudain, Des assaillants Kree (une nation alien belliqueuse connue des comics Marvel, des types à la peau bleue) menés pas Korath tentent d’intercepter l’objet, ce qui mène au tout premier gag du film, à savoir le fait que personne ne connait le surnom StarLord que Peter lance comme une carte de visite à la face de son ennemi. Grand moment. Et dans une scène digne du début des «Aventuriers de l’Arche Perdue », Quill s’échappe avec la ferme intention de revendre l’objet à bon prix sur Xandar, planète-mère du Corps des Nova (une sorte de milice spatiale sortie des comics aussi).

Cependant, Ronan l’Accusateur (un Kree lui aussi, donc un mec tout bleu avec un look tout droit sorti d’un jeu vidéo « Soul Calibur », il a d’ailleurs un marteau énoooorme aussi) apprend que Korath – son homme de main en fait – a échoué et est bien embêté car il l’avait promise à Thanos (un mec mauve ce coup-ci, souvenez-vous on le voit dans la scène située dans le générique du premier Avengers. C’est ZE big méchant de chez Marvel). Du coup, Thanos lui adjoint ses deux filles adoptives, Gamora (elle est verte, elle) et Nebulla (on revient au bleu, mais foncé), deux redoutables combattantes.

Gamorra fonce sur Xandar pour retrouver Peter et, au même moment, les chasseurs de trésor Rocket (un raton-laveur ayant subi des expériences – lu comme ça ont dirait un gag mais le personnage doit être selon moi le meilleur de tout le film) et Groot (un arbre façon sylve-barbe dans le Seigneur des Anneaux, dont le vocabulaire se limite à « Je suis Groot ») sont en quête d’une bonne affaire… Evidemment tout ce beau monde va se percuter dans une course poursuite qui finit en prison. Là, ils rencontrent Drax le Destructeur (un colosse à la peau rouge) lequel à un compte à régler avec Thanos… Entretemps, Yondu (il est bleu lui), un pirate qui a adopté Peter tout jeune, est à la recherche de cette sphère…

Le groupe se trouve un intérêt commun à mettre au point un plan d’évasion et se promet de partager le prix qu’ils tireront de la sphère… Mais c’est sans compter sur Ronan et ses forces bien décidés à récupérer l’objet dont l’usage pourrait bien être dévastateur pour Xandar et le reste de la galaxie…

Je ne vais pas en dire plus car je veux garder en tête que tout lecteur de cet article n’a pas encore vu le film… Pour être franc, j’avais peur que ça soit un navet. Ce n’est pas le cas, et je loue le fait que tous ces films puissent être liés par de petits détails ou par des personnages communs ! C’est l’univers Marvel de mon enfance, celui où Spider-man faisait une apparition chez les Vengeurs ou Wolverine (Serval à l’époque dans les albums édités par Lug) se retrouvait face à Hulk. Mais les Gardiens sont un peu moins connus au sein du panthéon Marvel, d’où le risque. Point de Thor ici ou de Iron Man… et la scène au milieu du générique aurait pu les montrer… PPas eux, mais je vous assure que le « mec » qu’on y croise fera sourire les fans !

On rigole pas mal dans ce film, il faut bien l’avouer mais le tout est contrebalancé par la présence sombre de Thanos, tel Palpatine dans les Star Wars, dans l’ombre il manipule l’intrigue et l’histoire des pierres de l’infini va être un élément bien ancré dans l’univers cinéma Marvel à venir…

Et puis comme toujours chez Marvel, les clins d’œil sont légions. Il faut admettre que la scène chez le Collectionneur (perso entrevu dans le générique du dernier Thor et joué par Benicio Del Toro) en est riche et il y a même un gag canin qui fera rire les plus petits et qui n’a RIENNNNN à voir avec Marvel. Niveau acteur, personne ne déçoit, et même Bautista (catcheur adulé par mon fils de 11 ans) est un Drax excellent, aussi brutal que profond quand il évoque sa famille. Gamorra, jouée par la très belle Zoe Saldana, est impressionnante en femme forte même si son maquillage tient plus de la sorcière dans Le Magicien d’Oz. Chris Pratt tient en Peter Quill un rôle à la Han Solo (même gouaille, même courage caché sous l’humour). Les deux personnages en image de synthèse Rocket et Groot sont incroyablement bons. Michael Rooker en Yondu m’a par contre laissé sur ma faim… l’acteur est génial MAIS ce n’est pas du tout le Yondu des comics (même au niveau du look, elle est où la crète rouge énorme du personnage ??? Sacrilège), mais plutôt un fac similé du dur à cuir (drogue et alcool en moins) qu’il jouait dans THE WALKING DEAD. On lui pardonne parce qu’il est très bon. John C. Reilly et Glenn Close semblent là surtout pour la paye et pour donner du crédit au film. Puis il y a les méchants et là ça coince un peu plus… Ronan ne fait peur à personne et Thanos n’est que peu vu… Reste Nebulla, toute bleue et chauve, jouée par – les fans de Doctor Who reconnaîtront LEUR Amy Pond – Karen Gillan, qui tire son épingle du jeu mais reste un peu figée dans son maquillage assez lourd il faut le dire. Il faut noter que dans la VO c’est le beau Bradley Cooper (j’entends les filles fait « hoooooooo ») qui double Rocket, Vin Diesel double (en trois mots…) Groot… Mais en VF c’est impossible de le savoir!

J’ai juste eu beaucoup de mal avec les maquillages, très rétros… Donc en gros l’univers est peuplé de mecs très humanoïdes bleus, rouges ou verts… Ca je pouvais le concevoir du Star Trek des sixties mais pas en 2014… Donc peut mieux faire !

Reste que dans l’ensemble le film est fun et distrayant mais je n’ai pu m’empêcher de penser à un très vieux film intitulé « Les Mercenaires de l’Espace », un sous « Star Wars » à la sauce « Sept Mercenaires » sorti en 1980 et dans lequel venaient cachetonner des grands nom comme George Peppard (de l’Agence Tout Risque) ou Robert Vaughn (Napoléon Solo dans « Man from U.N.C.L.E. »), tant le film porte la marque des blockbusters des années 80… Il y a presque du Lucas et Spielberg (jeunes hein, pas les croulants à la recherche du pognon) dans ce film… et c’est peut-être ce qui m’a plu le plus !

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Et puis cette bande-son qui vous fait revivre les eighties à travers la cassette (si si, une cassette, dans un Walkman) que ne cesse d’écouter Quill (dont le vaisseau est équipé d’un auto-radio) car elle est le lien avec sa défunte mère. Les tubes des années 80 rythment tout le film et c’est un point bonus pour moi !

Le réalisateur, James Gunn, nous livre un film remuant parfois brouillon (on ne comprend pas toujours les motivations de chacun) mais combien attachant et drôle ! En ce sens, vous ne pourrez que rire quand Rocket insistera pour avoir des ustensiles perso (je vous laisse la surprise) des certaines personnes pour mettre ses plans à exécution ! Et les métaphores semblent difficiles voire impossible à comprendre pour Drax, ça aussi ça m’a fait rire aux larmes !

Je retiens tout de même que les formules Marvel sont réemployées car on a encore ici droit (comme dans Avengers et le second Captain America ou Thor 2) à un combat dans les airs où un immense vaisseau menace de s’écraser sur des civils et la ville… une grosse redite mais plutôt bien filmée, avec ici un Corps des Nova très héroïque qu’on reverrait (ou reverra ?) bien par la suite ! Et puis les fans de la série Marvel’s Agents of Shield ne seront pâs en reste…

Donc en gros, pour un film de super héros SANS vrai super héros mais aussi sans acteur de premier plan, Les Gardiens de la Galaxie s’en sort bien dans le registre film un peu naïf mais jubilatoire dans le style des grands films de notre enfance !

Au Commencement : Le premier dvd de B5

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Me faisant le devoir de TOUT savoir sur « Babylon 5 », c’est avec une grande surprise que ce dvd m’a été offert le jour de mes trente ans donc il y a quand même bientôt douze ans! Ma tête, ce soir là! Non pas que ce film me soit inconnu (j’ai tout vu sur le sujet… même ce qui n’a pas jamais atteint la vieille Europe).

Ce qui m’a sincèrement étonné, c’est le fait que ce film soit sorti ici, en Belgique, alors que si peu de monde connaît en Europe la saga de J. Michael Straczinsky en fait!!! Au mieux, je me voyais bien prendre le Tunnel sous la Manche pour me procurer le dvd sur le territoire de la Perfide Albion…

Et puis, bardaf (comme disait notre regretté humoriste Manu Thoreau…), j’ouvre mes colis et me retrouve avec ce dvd en main (accessoirement, j’ai reçu X-Men et L’Edition Spéciale de Stargate…) et je n’en reviens pas!!!

De retour à la maison (rassurez-vous, je n’ai tout de même pas écourté la soirée!!!), je dévore la galette en un rien de temps!!! Quelle pureté d’image, quel son (surtout en V.O.) et quelle joie de démarrer une hypothétique collection (à ce moment-là, je ne savais rien des coffrets qui allaient suivrent!!!).

Film du disque : « Au Commencement » (« In the Beginning »)

Acteurs pricipaux: Bruce Boxleitner, Michael O’Hare, Claudia Christian, Jerry Doyle, Mira Furlan, Richard Biggs, Andreas Katsulas, et Peter Jurasik.

Scénariste: J. Michael Straczynski.

Réalisateur: Lawrence Michael Vejar.

Créateur: J. Michael Straczynski.

Producteur: John Copeland.

Producteurs exécutifs: Douglas Netter et J. Michael Straczynski.

Durée totale de visionnement: 90 minutes.

Bonus divers: Mis à part une featurette « cheap », rien du tout!!!

Languages: Anglais, Français, et Allemand.

Sous-titres: Mêmes langues que pour le doublage incluant l’Espagnol et le Néerlandais.

Nombres de chapitres: 6 au total.

Son: Dolby Digital 5.1 Surround mais Français en Mono.

Année de diffusion: 1997/Edité en DVD en 2001.

Distribué par: Warner Home Video sans notification de restriction d’âge.

“C’est ainsi que cela commence… » dit Kosh à de nombreuses reprises dans la série… et bien voilà justement CE commencement tant raconté verbalement dans la série!

Le menu principal est quant à lui formé par un joli montage donnant aisément accès aux langues, sous-titres etc.

Petite anecdote finale : aux States, ce dvd est vendu AVEC l’Edition Spéciale du film pilote (mais non, je répête… il n’est pas si moche, le pilote!!!) intitulé « The Gathering »! Chaque film figurant sur une face du disque! Ici, c’est rien, nada, que dalle!!! Mais on me souffle à l’oreille que celà va s’arranger, le dvd du pilote étant en cours de pressage pour l’Europe! Pourvu que ce soit l’Edition Spéciale (nouveau score par… Christopher Franke!!! et scènes inédites!!! que du tout bon, quoi!)